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Un cycle de financement vient de se terminer chez Deepomatic

logiciel image

Deepomatic a mené une collecte de fonds pour poursuivre l’amélioration de sa plateforme logicielle de reconnaissance d’images. Cette solution accompagne les techniciens sur le terrain dans différentes opérations comme le reporting. Avec cette levée, l’entreprise soutiendra divers projets de développement, dont l’accentuation de sa croissance à l’internationale ou dans certains secteurs.

Deepomatic a communiqué le 28 novembre dernier avoir finalisé un second tour de table. Une opération à l’issue de laquelle 10 millions d’euros ont été récoltés. Avec ce financement, le spécialiste de la reconnaissance d’image prévoit d’augmenter ses effectifs, de 70 salariés aujourd’hui.

Des missions pourraient être ouvertes aux consultants rattachés à une société de portage salarial. Cette forme d’emploi permet aux entreprises de contourner une campagne d’embauche classique, plus coûteuse. Elle représente également une solution pour trouver rapidement des talents. Un avantage important alors que de nombreux secteurs souffrent ces derniers mois d’une pénurie de compétences.

Le développement dans certains secteurs sera renforcé

Deepomatic entend dans les détails recruter une quarantaine de collaborateurs d’ici 2023. Pour l’année suivante, environ 50 postes seront certainement à pourvoir.

La jeune entreprise envisage aussi d’investir une partie de cet argent dans l’amplification de sa croissance dans les filières :

  • De l’assurance ;
  • De la construction ;
  • De la mobilité électrique ;
  • Des énergies renouvelables ;
  • Etc.

Des domaines qui s’appuient tous sur des professionnels en mobilité afin de fournir leur service. La firme veut mettre à profit les secrets de sa réussite afin de délivrer une meilleure assistance à ces agents.

Pour le moment, la start-up travaille essentiellement avec les entreprises de taille intermédiaire (ETI) et avec les grands groupes. Elle signe chaque année des accords pesant entre 40 000 euros et 1 million d’euros. Ce chiffre dépend de la quantité de logiciels impliqués et du niveau de déploiement. Parmi les clients de Deepomatic se comptent environ 20 sociétés au volume d’activité énorme et autant d’organisations plus petites. Sur approximativement 1 million d’interventions mensuelles, son outil de reconnaissance d’image est exploité par quelque 20 000 agents de terrain. La start-up française désire élargir son catalogue d’offres pour les ETI.

La société facilite le travail des agents sur le terrain

Deepomatic compte également profiter de ce financement pour simplifier l’utilisation des instruments d’intelligence artificielle par les techniciens de terrain. Le patron de la jeune société, Augustin Marty, annonce qu’elle songe à adresser sa plateforme logicielle aux :

Métiers du terrain qui déploient, construisent et maintiennent les infrastructures que ce soit pour les télécoms, l'eau, les panneaux solaires, l'éolien.

L’agent sur place doit seulement photographier la tâche accomplie. L’image est ensuite étudiée instantanément par une intelligence artificielle. Ce fonctionnement permet simultanément de :

  • S’assurer que l’intervention a été menée correctement avec un contrôle qualité automatisé ;
  • Réduire le temps dépensé sur un éventuel Reporting à effectuer, car il peut être produit par ordinateur.

En cas de défaut, le technicien en est immédiatement avisé et peut le régler. Son employeur échappe en conséquence à l’obligation de dépêcher plus tard une autre équipe quand l’anomalie sera identifiée. Dans ce cas-là, la capacité de lui montrer comment procéder en cas de besoin s’avère cruciale. Il faut donc lui transmettre tout fichier susceptible de l’aider.

Deepomatic garantit ainsi un pilotage plus efficace de la maintenance fondée sur une reproduction fiable et entière des infrastructures. La start-up promet aussi un meilleur impact écologique en diminuant l’énergie que les composants et les déplacements des techniciens consomment.
Pendant cette levée, deux nouveaux actionnaires sont entrés au capital de l’entreprise : Orbia Ventures et EnBW New Ventures.