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La filière du numérique continuera toujours d’embaucher

Les recrutements se poursuivent dans le numérique. Un secteur qui subit un énorme manque de postulants alors qu’il est accessible à une large catégorie de profils. Dans un tel paysage, Simplon conserve sa dynamique avec 3 712 inscriptions reçues en 2021. En accroissement de 39 % comparativement à 2020, ce chiffre traduit le développement du numérique en dépit du Covid-19.

En perpétuelle évolution, le secteur du numérique produit en permanence de nouveaux besoins en matière d’emploi. Aujourd’hui, entre 500 000 et 1 million de personnes exercent un métier dans cette filière, avance un expert. Et d’ajouter que ce chiffre devrait garder une tendance haussière, puisque les entreprises recherchent toujours de nouveaux talents digitaux. Par ailleurs, comme les habitudes de leurs consommateurs, celles-ci se numérisent.

Cependant, les professions se transforment très rapidement. Si bien que les écoles se trouvent dans l’incapacité de suivre le rythme et les travailleurs chevronnés sont rares. Par conséquent, de nombreuses places s’ouvrent aux jeunes diplômés. De nouveaux arrivants qui pourront profiter des portage salarial avantages.

Certains métiers se montrent particulièrement porteurs

Dans ce cadre, on soulignera que pour ces entrants dans le monde professionnel, le dispositif :

·        Représente une autre alternative au stage non rétribué ;

·        Leur permet de jauger leur savoir-faire dans le métier avant de se faire embaucher ;

·        Leur offre la possibilité de gérer à leur façon leur agenda professionnel.

Dans les années à venir, les besoins en sécurité, tant sur site qu’à l’extérieur, s’amplifieront dans la plupart des entreprises. Quelle que soit leur filière, les sociétés seront en effet contraintes de consolider leurs systèmes en la matière. Manager au pôle numérique du cabinet Expectra, Aurélien Gilles soutient :

Il y aura dans les fonctions de techniciens support une part de plus en plus importante consacrée à la protection des cyberattaques.

Le cadre ajoute que d’autres métiers techniques embaucheront, mais qui demandent des aptitudes plus appuyées. Selon lui, il s’agira par exemple de ceux de :

  • Responsables de l’analyse des données ;
  • Chief data scientists, qui administrent des groupes d’architectes Cloud ;
  • Chefs de projets Cloud.

L’école d’informatique Simplon attire toujours davantage d’étudiants

Sur ce sujet, Simplon a énormément progressé depuis sa fondation en 2013. Aujourd’hui, en dehors de la France, le réseau d’écoles IT solidaires est présent dans une vingtaine de pays, dont :

  • La Tunisie ;
  • La Suisse ;
  • La Roumanie ;
  • Le Kenya ;
  • L’Espagne ;
  • La Colombie.

Dans l’Hexagone, il a dénombré l’année dernière 3 172 étudiants ayant débuté un apprentissage. À l’aune de 2020, ce volume recèle une augmentation de 39 %. Le président cofondateur de l’établissement Frédéric Bardeau s’est félicité :

Malgré le Covid, l’accélération de la transformation numérique continue d’ouvrir des opportunités fortes pour les personnes en recherche d’emploi et c’est une bonne nouvelle.

En 2021, ses « Fabriques numériques » ont également été suivis par 1 076 travailleurs de DRH et DSI. Ces professionnels appartenant aux secteurs de l’industrie, la finance ou la banque. Dans ses formations en France, les apprenants de l’école sont constitués de :

  •         48 % de personnes de niveau Baccalauréat ou inférieur ;
  •         17 % d’étrangers ;
  •        8 % d’individus handicapés ;
  •         6 % de seniors et 34,4 % de moins de 24 ans ;
  •         60,1 % d’hommes.

Depuis sa création, Simplon a initié gratuitement aux métiers du numérique 16 000 personnes au total. Parmi celles-ci figurent 55 % d’apprenants de niveau Baccalauréat et 57 % d’hommes.